8 juillet 2012

Séléction pour les vacances !

Bonjour à toutes et à tous, 

Le soleil à Paris n'est certes pas au rendez-vous, mais peut-être avez-vous pu échapper à cette grisaille estivale en partant en vacances. Dans tous les cas, pas de problème, que ce soit sur la plage ou sur votre tendre canapé, la lecture vous fera un bien fou. Elle tentera de vous immerger dans un cadre complètement différent du vôtre.
Pour ce mois de juillet, je vous invite à découvrir quelques romans, pour certains que j'ai pu lire et où vous pourrez donc retrouvez ma critique et d'autres que je compte lire ce moi-ci. La plupart sont en collection de poche et donc à petit prix !


 - Sur la Route, de Jack Kerouac



Je n'ai pas fait de critique encore dessus pourtant il fait partie d'un de mes romans favoris. 

Sal, le narrateur a envie de voir du paysage, sa rencontre avec Dean Moriarty, un personnage complètement désinhibée, déchainé et débridé, va l'inciter à parcourir le continent américain. Son voyage sera totalement vécu au jour le jour et coloré par des belles rencontres et d'autres sans intérêt, si ce n'est découvrir le monde et les personnes qui le peuplent. On voyage avec Sal et on vit sa fascination pour Dean. Ce jeune garçon est l'élément instable, d'un coup de tête tout ce qu'il a prévu peut changer. Il vit dans l'innocence et l'inconscience de ses actes. Un voyage original provoqué par un personnage original.


 

 

- A Mélie sans mélo, de Barbara Constantine


 "Mélie, soixante-douze ans, vit seule à la campagne. Sa petite-fille, Clara, vient pour la première fois passer toutes les vacances d'été chez elle. La veille de son arrivée, Mélie apprend qu'elle a un problème de santé... Elle verra ça plus tard. La priorité, c'est sa Clarinette chérie ! Mélie, le mélo, c'est pas son truc. Elle va passer l'été (le dernier ?), à fabriquer des souvenirs à Clara. Des rigolos. Comme regarder pousser les bambous en écoutant la Traviata, chanter sous la pluie des chansons de Nougaro, goûter les mauvaises herbes qui poussent le long des chemins. Il y a aussi... le vieux Marcel qui va apprendre à Clara à faire de la mécanique, Fanette, sa mère, qui va lui trouver un beau-père ; Bello, son parrain, qui va agrandir sa bande de filleuls musiciens. Et puis, comme la vie est vraiment dingue des fois, il y a Mélie quoi va enfin rencontrer le grand amour... Cent cinquante ans à eux deux ? Mais quand on aime, on ne compte pas !"

Retrouver ma critique sur ce cette page A-Mélie-sans-mélo

   
- En moins Bien, Arnaud le Guilcher

 Il y a des livres, lorsqu’on les termine, nous laissent dans un sentiment de flottement inexprimable ; comme quand on a aimé un film et que l’on profite de la musique de fin et du  générique pour rester encore quelques minutes dans cette ambiance latente d’avoir été  imprégné de l’histoire et de l’avoir aimée.

En moins bien m’a apporté cette sensation de plénitude. L’histoire est celle d’un homme venant de se marier qui part en voyage avec sa chère Emma dans un club de vacances retiré de la Californie. Son épouse va disparaître lors de leur première nuit de noce. Des situations grotesques et décalées vont se succéder pour en faire un roman déjanté. On voyage dans l’esprit d’un homme plutôt simple mais qui se complique la vie. Il analyse les autres et s’analyse lui-même sans malgré tout pouvoir contrôler ses actes. Le style de l’auteur accentue le côté hors norme du roman. Les métaphores et les expressions plus crues les unes que les autres m’ont beaucoup fait rire. L’écriture nous peint totalement ce personnage comme un « pauvre type ». Il en devient attachant. Vous l’aurez compris ce roman est complètement décalé, peut-être un peu trop pour certains, mais renvoie finalement à des réalités sans nom : l’amour, rester digne et se sortir des moments difficiles. Personnellement, il m’a beaucoup captivée et séduite. Vous serez transportez !
Ma critique sur En-Moins-Bien

- Quitter le monde, Douglas Kennedy.
"Le soir de son treizième anniversaire, lors d'une énième dispute entre ses parents, Jane Howard annonce qu'elle ne se mariera jamais et n'aura jamais d'enfants.
Mais sommes-nous maître de notre destinée ? Une quinzaine d'années plus tard, Jane est professeur à Boston et amoureuse de Theo, un homme brillant et excentrique qui lui donne une petite Emily. A sa grande surprise, Jane s'épanouit dans la maternité. Mais la tragédie frappe et Jane, dévastée, n'a plus qu'une idée en tête : quitter le monde. Alors qu'elle a renoncé à la vie, c'est paradoxalement la disparition d'une jeune fille qui va lui donner la possibilité d'une rédemption.
Lancée dans une quête obsessionnelle, persuadée qu'elle est plus à même de résoudre cette affaire que la police, Jane va se retrouver face au plus cruel des choix : rester dans l'ombre ou mettre en lumière une effroyable vérité..".

Un roman que j'ai hâte de découvrir.

- Un avion sans Elle, Michel Bussi

"Lyse-Rose ou Emilie ? Quelle est l’identité de l’unique rescapé d’un crash d’avion, un bébé de trois mois ? Deux familles, l’une riche, l’autre pas, se déchirent pour que leur soit reconnue la paternité de celle que les médias, ont baptisée Libellule. Dix-huit ans plus tard, un détective privé prétend avoir découvert le fin mot de l’affaire, avant d’être assassiné, laissant derrière lui un cahier contenant tous les détails de son enquête. 
Du quartier parisien de la Butte-aux-Cailles jusqu’à Dieppe, du Val-de-Marne aux pentes jurassiennes du mont Terrible, le lecteur est entraîné dans une course haletante, jusqu’à ce que les masques tombent. Hasards et coïncidences ne sont-ils que les ricochets du destin ? Ou bien quelqu’un, depuis le début, manipule-t-il tous les acteurs de ce drame ?

Je pense que c'est le polar de l'été, ça fait plus de deux mois que j'essaie de le trouver en bibliothèque mais malheureusement ce ne sera pas avant le mois d'aout.


Voilà j'espère que cela vous aidera dans vos recherches,
N'hésiter pas à me partager VOS LECTURES pour cet été !!

A bientôt !

1 commentaire:

  1. Si tu as vu l'adaptation de Sur la route par Walter Salles, je serais curieuse de savoir ce que tu en as pensé !
    ps: Petite coquille au début de l'article sur le livre de Kerouac justement.

    Bisous !

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